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Journée d’apocalypse dans un ciel de septembre
Sombre comme les abysses des gratte-ciel en cendre
Quand l’horreur s’immisce dans le cœur des âmes à vendre
Et les rancœurs moisissent dans certains méandres
Enivrés de croyance, ils entrent en transe
Et réduisent au silence toutes différences
Aveuglés d’une lumière qui brille depuis l’enfer
Plongés dans une guerre pleine de mystère
Toutes ces armes nous désarment
Aucune larme n’apaise
Toutes ces armes nous désarment
L’absence de rêve
Toutes ces armes nous désarment
L’absence de trêve
Toutes ces armes nous désarment
Quand les fous sortent de leur silence, où est l’humanité ?
Quand les loups s’imaginent immenses mais se font écraser ?
Dieu est un prétexte, c’est le diable qui les guide
Trop d’homicides, trop de suicides
Les âmes épargnées courent guidées par les bruits sourds
Lançant des appels au secours qui nous ont rendus sourds